Léon Cordas

Léon Cordes est né à Siran (Hérault) le 30 mars 1913 et mort à Montpellier (Hérault) le 9 octobre 1987 .

 

Il était un des plus ardent militant de la langue occitane s’exprimant essentiellement avec elle . Et ceci vient de son attachement à la terre qui l’a vu naitre et qu’il va cultiver tout au long de sa vie .

Il commence a écrire très jeune des poèmes inspirer par son grand-père qui fut un conteur populaire mais ne publie que son premier recueil de poèmes Al mirar d’aquesta riba qu’en 1940 . Car avant cela, il fonde l’Office du Thèatre d’Oc avec Ernest Vieu consistant a promouvoir les pièces de théâtre occitane . Ainsi Léon Cordes écrit des pièces , La Matalena, La Novia, Tres per un , Prudom de la luna

 

Mais ll fut aussi un romancier, en 1947 , il écrit cette fois en français un roman « 1907 , la route des gueux » parlant de la révolte des vignerons de 1907 . Mais l ne trouvera jamais personne pour le publié . Ce roman ne le sera uniquement qu’en 2016 .  Et ce contrairement a son premier roman occitan, « set Pans » publié en 1949 reprenant une année entière du cycle agricole .

Il vend sa propriété de vignes en 1953 pour quelques années plus tard racheter a Lattes un terrain pour crée une exploitation maraichère . Du a cela, il n’a désormais moins de temps pour écrire  a cause de l’exigence de son travail . Néanmoins, il présente en 1955 sa pièce « La font de bonas gracias »  qui obtient le prix Théodore Aubanel .

 

Sa fin de vie, sera marqué par son envie de transmettre ce qu’il sait en donnant des cours , mais aussi des soirées poétiques avec lectures et contes et écrira un manuel d’apprentissage de l’occitan . Néanmoins sa dernière œuvre, sera une pièce de théatre Menerba 1210 dont 10 000 personnes viendront assister a la représentation en 1985 avec un mise en scène réalisée par son propre fils Michel Cordes . Épuisé et atteint du cancer, il décède le 9 octobre 1987  .